C’est le secteur qui contribue à émettre des GES, notamment élevage, fertilisation sol (en France, c’est 18% des émission)
C’est le secteur qui apportent beaucoup de solution contre le réchauffement climatique, en capteur bcp de carbone dan les sols.
A l’image de la situation actuelle, la problématique mondial de l’agriculture et de l’alimentation, peut semblé embrouillé par la coexistence de situation très différentes.
D’un côté, près d’1 milliard de personnes qui mange trop, trop gras, trop sucré, et en surpoids
De l’autre, 800 millions de personnes qui souffre de sous alimentation avec des crises aigus qui surviennent au gré des aléas météo et des crises sociales et politiques qui entrave la production agricole ou la distribution de nourriture.
D’un côté vous avez une agriculture hyper mécanisé qui utilise énormément d’engrais et de produits phyto sanitaire et qui est capable de produire en masse et avec une main d’œuvre réduite à 2 ou 4% de la population active du pays
Et de l’autre des systèmes agraire très peu productif dont l’exemple extrême se trouve au sahel où la majorité de la population est active dans l’agriculture et où pourtant des crises de subsistance se répète.
Et entre ces 2 extrêmes, plusieurs milliards de personnes qui se nourrissent en général mieux qu’il y a 1 siècle notamment dans le pays d’Asie en raison des progrès majeurs opérés après la seconde guerre mondiale.
Ce descriptif très rapide indique que la description d’ensemble de la problématique du triptyque changement climatique, agriculture, alimentation doit tenir compte de ses différences.
Toutes vision simpliste échouera à comprendre l’interaction avec les changement climatique.
1/ Pourquoi c’est si important de prendre les impacts du changement climatique pour l’agriculture aujourd’hui ?
Parce que les changement climatique vont taper fort sur la production alimentaire surtout là ou elle devrait augmenter. C’est ça le problème.
L’avenir démographique il y a quelques décennies, il est en grande partie écrit. Ce sont aujourd’hui les population jeunes dans les pays tropicaux et pauvres dans l’essentiel qui vont augmenter leur effectif ‘Ethiopie, Nigeria, l’ensemble du sahel, le brésil, l’Asie du sud est). Ces pays vont portée l’essentiel du milliard et demi de personne à nourrir en plus prévue d’ici une 50N d’année.
2/ Que nous disent les rapports et les scientifiques sur le sujet ?
Voici quelques exemple s de ce qu’ils nous disent.
- Les T° des tropiques vont dépasser les zones de conforts de nombreuses cultures vivrières (mais riz, sorgho, millet) et don mettre en causes leurs croissance, les rendements à l’hectare et le volume total des récoltes.
- Les zones arides vont s’acidifier encore plus. Ce stress hydrique accentué va lui aussi diminuer les récoltes. Estimation de près de 300 millions de personnes pour une augmentation de 3 °C d’après le dernier rapport du GIEG
- Le devenir de la mousson africaine demeure certes incertain, mais si elle diminue en intensité et régularité les agricultures du sahel ne pourront pas suivre les augmentation des populations même avec d’énormes efforts d’adaptation. D’ailleurs, même sans changement climatique et le devenir de la mousson , la seule augmentation de population représente un risque.
- Les agricultures qui dépendent de la fontes estivales des glaciers de montagne en seront privé au fur et à mesure de leur disparition (Andes, Asie)
- Partout l’augmentation de l’ampleur et la fréquence des évènements extrême (inondation, sécheresse, cyclone) sera dévastateur pour les récoltes. Si on va au devant des 4°C d’augmentation planétaire, les bouleversement seront tels qu’ils devient carrément difficile d’imaginer des adaptation efficaces pour l’agricultures et on rentrerai dans une zone de risque extrême qu’il faut absolument éviter.
3/ Ces changements n’auront pas des impacts dans un lointain future. On les voir déjà aujourd’hui ?
Le rapport spécial du GIEC sur les terres émergées publié en 20219 a attirer l’attention sur le fait que le changement climatique altère déjà la sécurité alimentaire. Extrait :
- Dans les régions tropicales le rendement de certaines cultures dont le mais et le blé à déjà diminué en raison de l’augmentation des Températures. Hors on espérait augmenter les production de blé (en Afriques Ethiopie, Kenya, …).
- Le taux de croissance des animaux et la productivité des systèmes pastoraux montre déjà un système à la baisse sur les 20 dernières années.
- On note une infestation des cultures par des ravageurs, ou par des maladies en de nombreuses régions et la cause en est connue, c’est l’augmentation des température et de l’humidité qui sont favorable aux maladies.
- Enfin, les épisodes de sécheresse et de canicule ont montré leur potentiel capacité de diminution des récoltes comme en France, en Espagne en Italie en 2003. Ou en Russie et Ukraine en 2010 avec une chute de production allant de 40% d’une année sur l’autre.
4/ Description actuellement de conséquences négatives. Il y a aussi dans certaines régions du globe ou une température plus élevée et une concentration de CO2 pus importante dans l’atmosphère, ça pouvait permettre au contraire de rendre une agriculture possible qui ne l’était pas avant, voire d’augmenter la productivité.
C’est tout à fait vrai et évidement, ça se passe dans les vastes terres émergées du Canada et de Sibérie. Le rapport 2019 du GIEC, note que dans les latitudes les plus hautes des zones de culture, à l’inverse de ce qui se passe sous les tropiques, les rendements du mais, du blé et de la betterave sucrière ont déjà augmenté. Et c’est l’effet positif de l’augmentation des températures. Mais la question est la suivante. est-ce que nous allons nourrir les africain et les asiatiques avec du ri et du blé du canada ou de la Sibérie ? Techniquement on pourrait, mais une dépendance trop grande aux importations de nourriture, songé au situation actuelle de l’Egypte et de l’Algérie sont en fait des risques majeurs qui se traduisent par des émeutes de la faim que l’on a déjà vu lorsque le marché international pousse mes prix à la hausse et que les états ne peuvent plus subventionner massivement ces produits de bases comme le blé ou le riz pour des populations pauvre.
5/ Ces changement climatiques en Europe du Nord au Sud, vont se traduire comment pour le secteur agricole ?
Mêle e Europe, ce gradient Nord Sud va existé.
L’Irlande et la GB aura une agriculture favorisé par l’augmentait des T° allié à une pluviométrie favorable.
En revange, le Sud sera affecté par des T° trop élevée pour les cultures et un manque d’eau accentué. On peut le dire de manière imagé. Il deviendra de + en + difficile de faire pousser des légumes et fruits méditerranée dans une Andalousie en voix de désertification alors que l’Europe du Nord et Centrale sera plus favorable à ces cultures.
Mais il faut bien voir que ce gradient Nord Sud et les zones les plus hautes de l’hémisphère Nord seront favorisé par le changement climatique est lié au fait que les agricultures très productives d’Europe et d’Amérique du Nord reposent aujourd’hui sur un usage massif d’intrant notamment d’engrais qui porte l’Azote, le Phosphore le potassium et des pesticides. Hors ces intrant sont peu durable soit parce que il repose sur des ressources finie dans l’environnement soit parce qu’il pollue les eaux sol et l’air. Exemple, pour les grandes cultures ‘blé, mais, riz) le changement climatique a des effets beaucoup plus négatifs pour les régions très productives aujourd’hui si on le croise avec un déficit future en apport engrais azote.
6/ Et ce gradient Nord Sud existe aussi en France ?
Oui. Le Nord de la France aura des conditions toujours aussi bonnes pour les grandes cultures. Mais tout le sud de la Loire va expérimenter les situation avec des sécheresse et des canicules estivales qui vont mettre en cause des cultures qui existent aujourd’hui et notamment celles qui consomme beaucoup d’eau. On le voit déjà avec le conflit sr l’usage de l’eau et est-ce que l’on fait pas des retenues d’eau hivernales au dépend des zones humides naturelle pour irriguer des champs de mais durant l’été.
Et toutes les régions du Languedoc, du sud ouest et de la Provence vont expérimenter des températures de plus en plus élevées et un stress hydrique estival de plus en plus important qui va impacter la sylviculture, l’arboriculture et quelques grandes cultures qui devront migrer vers le Nord.
7/ Ce qui est possible de faire dès aujourd’hui pour limiter ses impacts ?
Il y a déjà beaucoup de recherche sur ce sujet et le résultat principal est qu’il faut avant tout anticiper le changement future pour s’y adapter.
Le rapport 2019 du GIEC sur les terres émerger insiste sur ces notions : les agricultures du monde vont affronter les conditions climatiques inconnues depuis l’invention de l’agriculture il y a 12000 ans . Donc continuer comme maintenant et comme avant, ce n’est pas une option viable. Donc partout où cela sera possible, il faudra préparer une agriculture aux nouvelles condition par exemple en sélectionnant des semences qui seront plus résistantes aux T° et pluviométrie future dans chaque région, en modifiant les sols pour qu’il garde au mieux leur potentiel organique et hydrique, voire participe à un stockage plus important du carbone dans les sols pour qu’il y en ai moins dans l’air et donc avoir un moindre réchauffement. (agriculture sur sol de sols de conservation). C’est toute la notion d’agro écologie dont l’objectif est d’obtenir des rendement levé mais en utilisant des moyen plus durable que l’apport massif d’engrais et de pesticide.
Cette anticipation est particulièrement délicate pour les cultures pérennes (arbres fruitiers) car il faut avoir 2 ou 3 décennies d’avance sur le climat pour qu’il ai la bonne adaptation.
8/ Changer les pratiques agricole prend du temps. Est-ce qu’il y a des pratiques agricoles qui ont déjà commencé à d’adapter ?
Exemple INRAE, mobiles des équipes de recherche pour adapter vigne et vin. Monté vers le nord du cépage Merlaut, du vin rouge plus alcoolisé, pratique viticole transformée pour tenir compte des T° plus élevées, des bourgeonnement plus précoces avec des gelées possible ensuite, des dates de vendanges avancées. Sans des institutions public pérenne, bien financé et avec des relations avec les agriculteurs, c’est très difficile de préparer les agricultures aux changement futures.
Il ne faut pas négliger les volets économiques, sociaux, culturels, des parades à mettre en œuvre. La perte de récolte par défaut de protection, au gaspillage alimentaire font partie du problème et peuvent être des points de blocage si on les sous estime.
Dans les pays du Sud, les revenu et et l’éducation sont des condition sine qua none çà l’adaptation parce que c’est seulement si les familles paysannes peuvent dégager un surplus financier qu’elle pourront investir dans le pratiques nouvelle. Doit devenir un sujet de coopération international pour soutenir les pays du Sud en les aidant à mettre sr pied les recherches qui leur manques. Il faut le faire sur place, là où le mille et le sorgho aura besoin de pousser. Pas en Beauce.